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Français 1634

Cote : Français 1634  Réserver
Ancienne cote : Rigault II 1030
Ancienne cote : Dupuy II 970
Ancienne cote : Regius 7632
Adam de La Bassée, Ludus super Anticlaudianum, traduction française anonyme ; Baudouin de Condé Dit des preudoumes , Li Contes dou wardecors, Li Contes d’avarise, Li Contes de l’olifant, Li Conte du preudomme, Li Contes de gentilleche, Li Contes dou bacheler, Li Contes du dragon qui envenime au lecher, Li contes dou mantiel, Li Vers de Droit ; Rutebeuf, La Voie de paradis ;Henri de Laon,Li dis des hyraus ; Un dit d’amours ;Le dit du corps ; Chronique abrégée des évêques de Liège.
XIVe siècle (2ème moitié : avant 1380)
Ce document est rédigé en français.
Bibliothèque nationale de France. Département des Manuscrits
France (Nord : voir Faral, Bastin, Œuvres complètes de Rutebeuf, p. 26-27)..

Écriture de chancellerie. Au moins trois copistes

Décoration :
Aucune peinture.
Décoration secondaire : initiales filigranées et pieds-de-mouche de couleur agrémentés de jeux de plume à l’encre rouge et bleue.

Parchemin ; 111 f. précédés et suivis de 2 gardes de papier et d’une garde de parchemin (A, I) ; contregardes en papier reliure , 300 x 220 mm (justification : 220 x 140 mm).

14 cahiers, quaternions réguliers à l'exception du dernier cahier : f. 1 (table), 18 (f. 2-9), 28 (f. 10-17), 38 (f. 18-25), 48 (f. 26-33), 58 (f. 34-41), 68 (f. 42-49), 78 (f. 50-57), 88 (f. 58-65), 98 (f. 66-73), 108 (f. 74-81), 118 (f. 82-89), 128 (f. 90-97), 138 (f. 98-105), 147 (4+3) (f. 106-111 + garde I : garde portant l’ancienne foliotation).

Réclames. F. 52v-57v blancs entre la fin de la traduction du Ludus super Anticlaudianum et le début des Dits de Baudouin de Condé. Foliotation moderne incluant la table des matières (f. 1). Dans la marge supérieure, foliotation ancienne en chiffres romains commençant au premier folio du 1er cahier (f. 2) et se terminant à la dernière page de garde réglée et blanche portant le chiffre « C .X. » : par suite d’une erreur de foliotation, deux feuillets (f. 22 et 23) portent le n° XXI. Erreur dans la foliotation des f. CI, CII et CIII mal reliés ; une note du XIXe dans la marge inférieure du f. C (foliotation moderne : 102) indique : « Transposition. La suite paraît être au f. CIII (105), qui par conséquent devrait être cotté CI et celui qui est cotté CI devrait l’être CII (103) ».
Mise en page : texte copié à longues lignes; 2 vers par lignes pour les textes en vers.
Malgré les différentes mains et le caractère hétérogène des œuvres du recueil, les réclames, la décoration secondaire uniforme, la mise en page attestent l’unité de l’ouvrage, dont toutes les pièces ont été copiées pour en faire partie.

Réglure à la mine de plomb.

Reliure de veau raciné. Dos en maroquin rouge, au chiffre de Louis XVIII (1815-1824). Titre au dos : « ANTI- / CLAUDIANUS / EN / FRANÇAIS & C ». Tranches dorées et ciselées en losange. Au verso du f. 111, indication concernant la reliure de l’ouvrage du vivant de Louis de Bruges : « en viet zvaert » (cf. ms. BnF, Français 1421).

Aux f. 1 et 111, estampilles de de la « BIBLIOTHECAE REGIAE » (Ancien Régime, avant 1725), correspondant au modèle Josserand-Bruno, type A, n° 1..

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Historique de la conservation

Le manuscrit a appartenu au roi Charles V. Il est répertorié dans tous les inventaires de la Librairie du Louvre qui furent établis entre 1380 et 1424 :
1° Inventaire deGilles Malet établi en 1373 et récolé en 1380 par Jean Blanchet[Inv. A] : « Anticlaudianus, les Dis Baudoin de Condet, la Voie de paradis que fist Rustebeuf, la Sucession des evesques du Liege, en un livre couvert de parchemin » (BnF, ms. Français 2700, f. 11, art. 185) ; copie du même inventaire [inv. B], 1380 : même description (BnF, ms. Baluze 397, f. 5)
2° Inventaire de 1411 [inv. D] : « Item Anticlaudianus, les Diz Baudoin de Condet, la Voye de paradis que fist Rustebuef, la Succession des evesques du Liege, en un livre jadiz couvert de parchemin et de present entre deux ais, couvert de cuir blanc, a .II. fermouers de cuivre, escript de lettre courant, en françois, commençant ou .II.e fueillet : quar la chantoit, et ou derrenier : freres le cointe (sic pro comte) » (BnF, ms. Français 2700, f. 62v, art.124)
3° Inventaire de 1413 [inv. D] : même description (BnF, ms. Français 9430, f. 9v, art. 121)
4° Inventaire de 1424 [inv. F] : « Item Anticlaudianus, les Diz Baudoin de Condet, la Voye de paradis que fit Rustebuef, la Succession des evesques du Liege, en ung livre jadis couvert de parchemin et de present entre .II. aiz, couvert de cuir blanc, a .II. fermouers de cuivre, escript de lettre courante, en françois, commencent ou .II.e fueillet : car la chançoit, et ou dernier : des freres : XL s. p. » (Bibl. Mazarine, ms. 2030, f. 15v, art. 104). .
L’identification des incipit confirme que le ms. Français 1634 est le manuscrit cité dans les inventaires : le f. 3 (ancien f. II) commence par les mots : « Quar la chantoit [l’alouette…] » ; les mots-repère du dernier feuillet figurent à la première ligne du f. 111 ( ancien f. CIX) : « freres le comte [Othon de Ghelre…] ».

Le volume entra à une date indéterminée dans la collection de Louis de Bruges, seigneur de La Gruthuyse (1422-1492) dont l’emblème recouvert par les armes de Louis XII, est visible par transparence au f. 1. L’ouvrage est répertorié dans la « Notice des manuscrits de la bibliothèque du roi qui proviennent de elle de La Gruthuyse (van Praët, p. 160-163, n° LII). C’est à cette époque qu’il fut couvert de velours noir, comme l’atteste la mention inscrite dans la marge droite du f. 111v : « en viet zvaert », indication que l'on retrouve notamment dans le ms. BnF. Français 1421).

Le manuscrit revint, sans doute lors de la cession des ouvrages de son père par Jean de Bruges, dans la Librairie royale de Blois (Baurmeister – Laffitte 1992, p. 195).
Il figure à partir du début du XVIe siècle dans les inventaires de la Bibliothèque royale : inventaire de 1518 (Omont, I, p. 2, n° 5) ; inventaire de 1544 (Omont, I, p. 228, n° 1423) ; inventaire de Nicolas Rigault, 1622 (Omont, II, p. 315, n° 1030), inventaire de de Pierre et Jacques Dupuy, 1645 (Omont, III, p. 52, n° 970) ; inventaire de Nicolas Clément, 1682 (Omont, IV, p. 48, n° 7632).

Anciennes cotes inscrites au recto du f. 1 : [Rigault II] « mil trente », [Dupuy II] « 970 », [Regius] « 7632 ».

Présentation du contenu

F. 1. [Table des œuvres du volume avec indication des feuillets].

F. 2-52. [Adam de La Bassée, Ludus super Anticlaudianum, adaptation anonyme en français].
Le Ludus super Anticlaudianum, adaptation latine par Adam de La Bassée, chanoine de Lille (mort en 1286) de l’Anticlaudianus sive de Antirufino d’Alain de Lille (v. 1120-v.1203), a lui aussi fait l’objet d’une adaptation anonyme en français entre la fin du XIIIe et le début du XIVe siècles. Cet ouvrage conservé dans trois manuscrits et un long fragment est resté inédit, à l’exception de quelques extraits publiés par Bossuat (1928) et par Fritz (2007). L’édition de Rastätter est restée dactylographiée. On en distingue une version courte (mss BnF, ms. Français 1634 (B) ; BnF, ms. Français 1149 (C)) et une version longue (BnF, ms. NAF, 10047 (A)) : cf. Translations médiévales…, n° 118, p. 298.

F. 2-52. [Texte]. « Aucunes gens vont arguant – Aucuns clers si sont transmuant /Latin en roumant pour entendre – Le laic gent pour eaus apprendre …-… Ci fine Anticlaudianus – Ens ouquel lire ne puet nuls, / S’il y veut de bon cuer entendre, – Qu’il n’y puist moult de bien aprendre ». « Explicit Anticlaudianus ».

F. 58-83. [Baudouin de Condé, Dits et contes]
Après les f. 53-57 restés blancs, le manuscrit contient dix poèmes de Baudoin de Condé (ff. 58-83, et 90-95). Pour deux de ces poèmes (Dit de l’olifant et Vers de droit), le manuscrit est unique. Il a été doté du sigle D dans les différentes éditions.

F. 58-61v. [Baudouin de Condé], Dit des preudoumes
« Ci commancent li Dit Baudouin de Condé et premierement des Preudoumes ». « Ja ne mesise contredit – De raconter aucun biau dit – Ne çou de bien que je seusse …-… D’enfer qui est grans et parfonde – Si abessiés les maus du monde / Et nous prenés en la fin – Disons Amen au partefin » (éd. Scheler, I, 1-16).

F. 61v-64. [Baudouin de Condé], Conte dou Wardecors.
« Pour ce que trop ai grait en mue – M’est pris talent que m’en teremue / Pour les preudoumes acointer – Et vueil tout mon sens apointer …-… Le gart et de peché mortel, – Et li doint le Vuardecors tel / Qui li sauve l’ame et le cors. – Ci faut li Dis dou Vuardecors » (éd. Scheler, I, 17-29).

F. 64-65. [Baudouin de Condé], Conte d’avarise.
« C’est le Conte d’avarise ». « Cil qui trouva du vuardecors – Nous raconte qu’en tous les cors / Du monde se puet on mirer, – C’on y voit le siecle empirer …-…Vous en ai la raison finee, – D’avance et a tant laissiet, – Voirs est qu’elle a tamaint quassiee » (éd. Scheler, I, 31-35).

F. 65-67v. [Baudouin de Condé], Conte de l’olifant.
« C’est li Contes de l’olifant ». « Je n’aurai ma langue aprestee – A dire oevre manifestee / Ne d’autri conter a conter, – Quar je ni voi n’en coguester …-…Fu li dis de l’olifant fais. – Que Dieus li perdoint ces meffais, / Quant l’ame du cors partira. – Bien ait cil qui Amen dira » (éd. Scheler, I, 233-243).

F. 67v-69v. [Baudouin de Condé], Conte du preudomme.
« C’est li Conte du preudomme ». « On dit mult qu’en taisier a sens, – Mais je ne voi de nul asens / Que le taire me vaille preu, – Quar je n’empuis faire mon preu …-… Finons a cel hostel, finons. – Dieus nous y lait si bien finer, / Que nous puissons en bien finer » (éd. Scheler, I, 96-105).

F. 69v-73. [Baudouin de Condé], Conte de gentillesse.
« C’est li Contes de gentillece ». « Selonc ce que Dieus m’a presté, – De sens l’ai-je tout apresté, / A biaus mos dire voulentiers – A ciaus qui ont le cuers entiers …-… Gart de vainne gloire tretouz, – Et de vices vains et estouz / Et nous amaint a bone fin – L’un aprés l’autre a son defin » (éd. Scheler, I, 175-180, texte différent du ms. Bruxelles, Bibl. royale de Belgique, 9411-9426, f. 137v-138).

F. 73-76v. [Baudouin de Condé], Conte dou bacheler.
« C’est li Contes dou bacheler ». « J’ai mainte fois oït retraire – Qu’osi bien se puet on trop taire, / Que trop parler c’avient souvent, – Et pour ce vous ai en couvent …-… A tant est cius contes sommés. – Je n’en veil parler plus parfont. / Tout sont preudome qui bien font » (éd. Scheler, I, 45-62).

F. 76v-80. [Baudouin de Condé], Conte du dragon qui envenime au lecher.
« C’est li Contes du dragon qui envenime au lecher ». « Selonc le siecle qui est ore, – Ne puis trouver de bone escole / Biau conte qui face a reprendre, – Car n’en say la matere ou prendre …-… Car pourveance garnist l’omme, – Et hons garnis ç’ou est la somme / N’a garde de ces anemis. / Qu’il en puist estre au desous mis » (éd. Scheler, I, 63-77).

F. 80-83. [Baudouin de Condé], Contes dou mantel.
« C’est li Contes dou mantiel ». « Qui des bons est, mete s’entente / A bon estre, quar de bone ente / Vient bon fruis ou nature ment. – Tout ensi sachiez vraiement …-… De lor cuer tel joie tenir, – Qu’au mantiel puissent pervenir, / Dont par tamps orés fin du conte. – Bien ait qui l’ot et qui le conte » (éd. Scheler, I, 79-93).

F. 83-90. Rutebeuf, Voie de paradis.
« C’est la Voie de paradis que Rustebués fist ». « Ou mois de mars en ce termine, – Que desous terre it la vermine / Ou elle a tout l’iver esté, – Or s’esjouist contre l’esté …-… A confesse qui tout netoie. – Mult y a aresteuse voie, / Ainçois c’on y puisse venir, – Qui ne met grant painne au tenir » (éd. Zink, 344-399 : le ms. a été doté du sigle P).

F. 90-95. Baudouin de Condé, Li Vers de droit.
« Ce sont Li Vers de droit Bauduin de Condé ». « Drois m’ensengne que je doi dire ; – Du mauvez siecle qu empire / Car pou est nus hons qui bien face, – Prince et baron sont de l’ampire …-… Et elle est a autri trouvee. – Drois en descuervre son courage / Puisqu’a autri soit folage, –Que on l’apelle fole prouvee » (éd. Scheler, I, 245-265).

F. 95-96v. Henri de Laon, Dis des hyraus.
« C’est li Dis que Hanris de Loon fit des hyraus ». « Cius qui n’ose riens entreprendre – Puet peu savoir et peu aprendre / Mais cil qui par raison emprent, – Il pue[t em]penre et si aprent …-… Les laiseront s’autre consaus – N’est pris par quoy puissent durer. / De ce ne les doit nus blamer » (éd. Länsgsfors, Romania, 43, 222-225).

F. 96v-98v. Un Dit d’amours.
« Un Dit d’amours ». « Merveilles est que ne fenist – Li mons ainçoins que l’on veist / Qu’ounours fust si morte et estainte, – Car s’en sa vertu remansist …-… Ne puist trouver nostre amour cassé. – Ains nous doint tout a belle chose / Aller vers la douce baniere – Ou amours ces amis amasse » (éd. Längsfors, Neuphilologische Mitteilungen, IX, 1907, 5-19).

F. 98v-101. Li Dit du corps.
« Le dit du corps ». « Cors en toi n’as point de savoir, – Car tu des[i]res trop avoir / Dras et deniers, chevaus de pris. – Tu quiers trop bien ton estavoir …-… Qu’aquiter veille ses forfais, – Qu’il ne le mette en son repaire. / Ausi veille il de nous tous faire. Amen » (éd. Bartsch, col. 547-552, l. 28).

F. 101-111. [Chronique des évêques de Liège].
« On treuve es enchiennese escriptures que mesires saint Pierres, quant il fu apostoiles de Rome, envoia mult de ces disciples par le monde pour anuncier la foi de Jhesu Crit …-… Cil fu mult preudoms et de bone vie. Il tint le siege .XIII. ans et trespassa en l’an de l’Incarnacion Nostre Seigneur mil .CC. .IIII.xx et .XIII. et fu ensevelis en l’abaye de Felines ».

Bibliographie

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Catalogues :
Bibliothèque impériale, Département des Manuscrits, Catalogue des manuscrits français, I : Ancien fonds, Paris, 1868, p.276, n° 1634.

Sources imprimées :
L. Douët d’Arcq, Inventaire de la bibliothèque du roi Charles VI fait au Louvre en 1423 par ordre du régent, Paris, 1867, p. 31-32, n° 104. – L. Delisle, Recherches sur la librairie de Charles V, Paris, 1907, I, p. 322, n° XCIX ; II, p. 177, n° 1080. – H. Omont, Anciens inventaires et catalogues de la Bibliothèque nationale, Paris, 1908-1913, I, p. 2, n° 5 [inv. 1518], p. 228, n° 1423 [inv. 1544] ; II, p. 315, n° 1030 [inv. 1622] ; III, p. 52, n° 970 [inv. 1645] ; IV, p. 48, n° 7632 [inv. 1682].

Éditions :
- P. H. Rastätter, A Thirtheenth-Century French Translation of the Ludus super Anticlaudianum of Adam de La Bassée by a Monk from Cysoin, PHD, University of Oregon, 1966.
- Aug. Scheler éd., Dits et contes de Baudouin de Condé et de son fils Jean, d’après les manuscrits de Bruxelles, Turin, Rome, Paris et Vienne, Bruxelles, 1866-1867, I, p. 1-16 (Dit des preudoumes ou Conte du Pel), p. 17-29 (Conte dou Wardecors), p. 31-43 (Conte d’avarise), p. 45-62 (Conte dou bacheler), p. 63-77 (Conte dou dragon…), p. 79-93 (Conte dou mantiel), p. 95-105 (Conte du preudomme), p. 175-180 (Conte de gentilleche), p. 233-243 (Conte de l’olifant), p. 245-265 (Li Vers de droit).
- E. Faral et J. Bastin éd., Œuvres complètes de Rutebeuf, Paris, 1959-1960, I, p. 341-370. – M. Zink éd., Rutebeuf, Oeuvres complètes, I, Paris, 1989, p. 344-399.
- A. Längsfors, « Le dit des hérauts par Henri de Laon », dans Romania, 43, 1914, p. 216-225, en part. p. 216-217.
–, « Un dit d’amours », dans Neuphilologische Mitteilungen, IX, 1907, 5-19.
- K. Bartsch, « Li dit du corps », dans La langue et la littérature française depuis le XIe jusqu’au XIVe siècles, 1887, col. 547-552.

Texte :
R. Bossuat, « Une prétendue traduction de l’Anticlaudianus d’Alain de Lille », dans Mélanges de linguistique et de littérature offerts à M. Alfred Jeanroy par ses élèves et ses amis, Paris, 1928. – J.-M. Fritz, « Les Arts libéraux dans la traduction anonyme du Ludus super Anticlaudianum d’Adam de La Bassée », dans la Traduction vers le moyen français. Actes du IIe colloque de l’AIEMF, Poitiers, 27-29 avril 2006, éd. Cl. Galderisi et C. Pignatelli, Turnhout, 2007, p. 109-123. – Translations médiévales. Cinq siècles de traductions en français au Moyen Ấge (XIe-XVe siècle), dir. Cl. Galderisi, Turnhout, 2011, vol. 2, t. 1, n° 118, p. 298. – L. Sélaf, Chanter plus haut. La Chanson religieuse vernaculaire au Moyen Ấge, Paris, 2008, p. 537-559.

Histoire :
U. Baurmeister et M.-P. Laffitte, Des livres et des rois : la Bibliothèque royale de Blois, J. van Praët, Recherches sur Louis de Bruges, seigneur de la Gruthuyse, suivies de la notice des manuscrits qui lui ont appartenu et dont la plus grande partie se conserve à la Bibliothèque du roi, Paris, 1831, p. 160-163, n° LII.

Exposition :
F. Avril et J. Lafaurie, La librairie de Charles V, Paris, Bibliothèque nationale, 1968, p. 103-104, n° 180. – U. Baurmeister et M.-P. Laffitte, Des livres et des rois : la Bibliothèque royale de Blois [catalogue d'exposition, château de Blois, 20 juin-30 août 1992 ; Paris, BnF, 15 octobre 1992-17 janvier 1993], Paris, 1992.

Informations sur le traitement

Notice par Véronique de Becdelièvre (mars 2012) ; mise à jour septembre 2018

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Microfilm en noir et blanc. Cote de consultation en salle de lecture : MF 31900. Cote de la matrice (pour commander une reproduction) : R 18742.

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Ce dépouillement bibliographique est réalisé de façon systématique à partir des publications acquises par le département des Manuscrits. Il est issu de chargements périodiques (dernier chargement : février 2021).

2016

Vanina KOPP, Der Köning und die Bücher : Sammlung, Nutzung und Funktion der Königlichen Bibliotek am spämittelalterlichen Hof in Frankreich, Ostfildern : Jan Thorbecke Verlag der Schwabenverlag AG, 2016, cité p. 369. — 8-IMPR-13217.