Département des Manuscrits > Latin > Latin > Latin 1-3857 [Ancien fonds latin] > Latin 1254-1590

Latin 1429

Cote : Latin 1429  Réserver
Ancienne cote : Regius 4650(2)
Horae ad usum Romanum dites Heures de Henri II
XVIe siècle (entre 1542 et 1547)
Paris

Ecriture humanistique.
Enluminé par plusieurs artistes du Groupe Bellemare. 17 peintures à pleine page (en pleine couleur et en camaïeu de couleur), 3 miniatures, initiales et lettres de couleur, bouts de lignes.
Toutes les enluminures de ce manuscrit ont été décrites et indexées dans la base Mandragore.
L'attribution de ces enluminures est controversée. Durrieu avait regroupé toutes les miniatures sous le même nom de convention de Maître de Henri II. Les historiens ont depuis redécoupé le corpus de ce maître initial. Traditionnellement (Orth), les enluminures du volume sont réparties entre le Maître des Epîtres Getty, le Maître de Henri II et le Maître des grisailles de Henri II. L'identification par G.-M. Leproux de la personnalité de Noël Bellemare, comme chef de file de l'Atelier des Heures 1520 (Orth), désormais rebaptisé Groupe Bellemare (Leproux), a permis de reposer différemment le problème de ces attributions, d'autant plus que les modifications apportées au volume pour le sacre de Henri II en 1547 sont postérieures d'un an à la mort de Noël Bellemare, à qui on donne désormais une grande partie du corpus précédemment attribué au Maître des Epîtres Getty. En dehors des feuillets ajoutés pour Henri II (frontispice aux ff. 2v et 3, peut-être miniature du f. 3v, miniature de Henri II touchant les écrouelles, f. 107v) qui sont attribuables au Maître de Henri II, et de quelques camaïeux que l'on peut pour l'instant laisser sous l'attribution du Maître des grisailles de Henri II, rien ne distingue du point de vue de la facture (Leproux) la plupart des miniatures du volume ; elles sont de la même main que les Heures dites d'Anne d'Autriche (BnF, Mss., NAL 3090), chef-d'oeuvre du Maître des Epîtres Getty, alias Noël Noël Bellemare.
Parchemin, 124 ff., 180 x 120 mm (just. 140 x 75 mm ; reliure 190 x 125 mm).
18 cahiers : 1 cahier de 2 ff. (2-3), 13 cahiers de 8 ff. (4-107), 1 cahier de 4 ff. (108-111), 1 f. (112), 1 cahier de 8 ff. (113-120), 1 cahier de 4 ff. (121-124), précédés et suivis d'un biffeuilet de parchemin de garde (contregarde-1 ; n.f.-contregarde).
Signatures. Pas de réclames.
Foliotation à l'encre noire, XIXe siècle.
Réglure à l'encre rouge.
Reliure de maroquin citron marbré (aujourd'hui noirci), à décor de filets dorés, traces de deux attaches de lacs en gouttière, dos long, tranches dorées (France, atelier non identifié, 1547). Cf. date "1547" inscrite à l'encre au contreplat.
Reliure restaurée avant 1957 : reprise des mors, des coins et des coiffes.
Estampille de la Bibliothèque royale avant 1735 (modèle Josserand-Bruno, n° 7).
Manuscrit en latin
Bibliothèque nationale de France. Département des Manuscrits

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Microfilm en couleur : Heures de Henri II. Cote de consultation en salle de lecture : MFC 64. Cote de la matrice (pour commander une reproduction) : ICR 325.

Historique de la conservation

Réalisé initialement pour un membre de la famille Dinteville, Gaucher II de Dinteville, Guillaume de DintevilleFrançois II de Dinteville, évêque de Metz, ou Jean Dinteville, bailli de Troyes (cf. armes Dintevilleécartelé aux 1 et 4 de sable à deux léopards d'or, aux 2 et 3 d'azur à la croix d'or cantonnée de dix-huit billettes du même, aux ff. 22v, 44, 48v, 64 et 69 ; les mêmes armes, mais avec vingt billettes, aux ff. 34 et 57), pas avant 1542, date du retour en grâce de Gaucher, Guillaume et François II de Dinteville ; modifié pour être offert au roi Henri II pour son sacre en 1547 (cf. diptyque d'ouverture ajouté ; initiales surpeintes aux armes de France aux ff. 4, 8v, 16, 20, 26, 31v, 37v, 40v, 45v, 47v, 54v, 57v, 64v, 66, 68, 74, 86, 88 et 105v ; initiales surpeintes aux armes mi-parties France - Médicis aux ff. 28v, 39, 43v, 49, 50, 56, 59, 67, 71v, 85 et 103v) ; sorti des collections royales à une date indéterminée ; acquis à Lyon en 1734 (BnF, Mss., NAF 5410, p. 464 : "acquis en 1734 d'un homme de la ville de Lyon") ; présenté au musée des souverains au palais du Louvre, de 1852 à 1870 (n° 75, porté au plat supérieur) ; restitué en 1872.

Présentation du contenu

Contient
F. 2v-3 : Diptyque frontispice aux armes de France couronnées et ceintes du collier de l'ordre de Saint-Michel (2v) et au chiffre et symbole du roi Henri II (3).
F. 3-7v : Péricopes des Evangiles.
F. 7v-15 : Passion selon saint Jean, suivie de l'oraison "Deus qui manus tuas [...]".
F. 15-36v : Matines et laudes des heures de la Vierge à l'usage de Rome.
F. 36v- 38 : Matines des heures de la Croix.
F. 38-39v : Heures du Saint-Esprit.
F. 39v-73 : Vêpres et complies des heures de la Vierge à l'usage de Rome, des heures de la Croix et des heures du Saint-Esprit.  
F. 73-80v : Psaumes de la pénitence.
F. 80v-87 : Litanies.
F. 87-105v : Office des morts à l'usage de Rome (un seul nocturne). 
F. 106-107 : Blancs.  
F. 108-112 : Les oraisons que ont accoustumé dire les roys de France quant ilz veulent toucher les malades des escrouelles. Avec frontispice peint au f. 108. Ce texte se retrouve dans une série de livre d’heures royaux manuscrits du XVIe siècle. La première occurrence remonte aux Heures à l’usage de Rome réalisées dans les années 1520 pour François Ier mais dont le décor laissé inachevé a été complété au XVIIe siècle (Londres, British Library, Add. MS 18853). Dans la mesure où les livres d’heures royaux antérieurs ne les contiennent pas, on peut supposer que ces oraisons furent écrites pour François Ier, vraisemblablement pour son sacre. Elles figurent également dans les Heures à l’usage de Rome peintes vers 1539-1540 par le Maître de François de Rohan pour François Ier (New York, The Metropolitan Museum of Art, Inv. 2011.353), où celui est représenté en prières devant saint Marcoul, dans les Heures à l'usage de Rome (célèbres pour être en forme de fleurs de lys) réalisées vers 1555 pour Henri II (Amiens, BM, ms. Lescalopier 22), et dans les Heures à l’usage de Paris peintes en 1555-1557 par Martial Vaillant pour le dauphin François de France, futur François II (BnF, Mss., NAL 104). Le même texte est enfin intégré dans l’Office de la Vierge Marie publié à Paris en 1586 chez Jamet Mettayer.
F. 112v : Blanc. 
F. 113-124 : Oraisons diverses, en latin et en français. F. 113 : Oratio dominica. F. 113 : Salutation évangélique. F. 113-v : Symbolum apostolorum. F. 113v-114v : "S'ensuyvent les quatre protestations, lesquelles la personne doibt dire au soir et au matin, pourtant qu'elles sont prouffitables a la vie et a la mort" ; commence par : "Premierement. Sire Dieu, de tous les biens que tu m'as faictz et donnez humblement je te mercie [...]". F. 114v-115v : "Protestation de la foy" ; commence par : "Sire Dieu, moy qui suis vostre humble serviteur et indigne creature, proteste icy devant vostre precieux et digne corps [...]". F. 115v : "Oratio" ; commence par : "Bone Jhesu salvator Mundi miserere nobis [...]". F. 115v-116 : "Oraisons a nostre Seigneur Dieu et a Nostre Dame. Utilité et prouffit de l'oroison" ; commence par : "Si oblectaveris te Domino, dabit tibi quantum animo concucupisce [...]". F. 116-v : "Enseignemens du roy David" ; commence par : "Quisquis cupis fieri longevus et multis annis vivere feliciter [...]". F. 116 : "La maniere comment on doibt orer. Fault orer en grande reverence [...]". F. 116v-117 : "Oraison son son reveil" ; commence par : "Respice me et misere mei Domine quomodo misereri soles eroum qui amantes sunt augustissimi nominis tui [...]". F. 117-117v : "Oraison pour le matin en l'eglise" ; commence par : "Ad te Domine, qui michi et rex es et Deus, mane animam meam erigam [...]". F. 117v-118 : "Oraison pour impetrer sagesse et paix" ; commence par : "Deus sedium tuarum assistricem sapientiam servo tuo michi da [...]". F. 118 : "Oraison pour la nuict quant il veult dormir" ; commence par : "In ditione tua Domine omnia sunt posita [...]". F. 118-v : "Oraison pour avoir pardon de ses pechez" ; commence par : "Propter temetipsum Domine, remitte precor iniquitatem meam [...]". F. 118v-119 : "Oraison pour les tribulations" ; commence par : "Domine in te posui fiduciam meam [...]". F. 119 : "Oraison pour estre en la saulvegarde de Dieu" ; commence par : "Miserere mei Deus, conculcare enim conantur me hostes mei omni tempore [...]". F. 119-v : "Oraison pour impetrer vengeance de ses ennemis" ; commence par : "Deux pro majestate nominis tui salva me [...]". F. 119v : "Oraison quant on est contrainct de passer parmy les ennemis" ; commence par : "Irruat super hostes meos formido et pavor [...]". F. 119v-120 : "Oraison pour impetrer victoire" ; commence par : "Deus ut e malis eripias me, Domine ut auxilieris michi festina [...]". F. 120 : "Oraison quant y fait tonnerre" ; commence par : "A signis celi non timebo quae timent gentes [...]". F. 120v : "Oraison a Nostre Dame" ; commence par : "Ave plena gratiositate et favore Dei optimi maximi benedicta tu in mulieribus [...]". F. 120v-121 : "Oratio" ; commence par : "Domine Deus omnipotens secundum bonitatem tuam promisisti poenitentiam remissionis peccatorum [...]". F. 121-122v : "Oratio regis Salomonis" ; commence par : "Deus patrum meorum et Domine misericodiae tuae qui fecisti omnia verbo tuo [...]". F. 122v-124 : "La mesme oraison en Françoys" ; commence par : "O Dieu de mes peres et seigneur de misericorde qui as fait toutes choses parole [...]". 

Le volume présente quelques irrégularités par rapport à un livre d'heures classique, peut-être dues aux modifications apportées lors du don au roi. Il n'y a pas de calendrier en tête. De plus, les classiques oraisons aux saints sont absentes, ici remplacées par des prières qu'on ne trouve dans aucun autre livre d'heures, à l'exception de la "Protestation de la foy".

Les Dinteville ont également commandé des Heures à l'usage de Rome (BnF, Mss., Latin 10558) et d'autres Heures à l'usage de Rome dont on ne connaît qu'un feuillet (Philadelphie, Free Library, rare Book Department, Lewis E M 11.16).

Fichier Avril

Consulter la fiche numérisée (manuscrits latins, XIVe-XVe siècles : Latin 1429)

Le fichier Avril a été constitué entre 1968 et les années 1990 par François Avril, conservateur au département des Manuscrits, à partir d’un examen systématique des manuscrits des fonds latin, français (et partiellement N.A.F.) et italiens, dans la perspective de l’élaboration d’un catalogue scientifique des manuscrits enluminés de la BnF. Cette documentation de travail est tenue à jour et complétée jusqu'en 2003.

Bibliographie

Catalogues :
Camille Couderc, Bibliothèque nationale. Album de portraits, d’après les collections du département des Manuscrits, Paris, [1908], pl. 144.
Victor Leroquais, Les livres d'heures manuscrits de la Bibliothèque nationale, Paris, 1927, t. 2, n° 139.
Philippe Lauer (dir.), Bibliothèque nationale. Catalogue général des manuscrits latins, t. 1, nos 1-1438, Paris , 1939, p. 540-541.
Charles Samaran et Robert Marichal, Catalogue des manuscrits en écriture latine portant des indications de date, de lieu ou de copiste, t. 2, Bibliothèque nationale, fonds Latin (nos 1 à 8000), Paris,1972, p. 467.
Keith Val Sinclair, Prières en ancien français. Nouvelles références, renseignements complémentaires, indications bibliographiques, corrections et tables des articles du "Répertoire" de Sonet, Hamden (Conn.), 1978, nos 1317, 1930, 1945, 1963 et 1998.
Myra D. Orth, Renaissance Manuscripts. The Sixteenth Century, Londres, 2015, t. 2, n° 84.

Fac-similé
Henri Omont, Livre d’heures de Henri II. Reproduction des 17 miniatures du ms. latin 1429 de la Bibliothèque nationale, Paris, 1905.

Etudes :
Auguste de Bastard d’Estang, Peintures et ornements des manuscrits, classés dans un ordre chronologique, pour servir à l’histoire du dessin depuis le IVe siècle jusqu’à la fin du XVIe siècle, t.8, Paris, 1832-1869, pl. non num.
Léopold Delisle, Le Cabinet des manuscrits de la Bibliothèque impériale, t. 1, Paris, 1868, p. 408-409.
Ambroise Firmin Didot, Étude sur Jean Cousin suivie de notices sur Jean Leclerc et Pierre Woeiriot, Paris, 1872, p. 50-52.
Ernest Quentin-Bauchart, Le livre d’heures de Henri II, Paris, 1890.
Ernest Quentin-Bauchart, La bibliothèque de Fontainebleau et les livres des derniers Valois à la Bibliothèque nationale (1515-1589), Paris, 1891, p. 81-84.
Léopold Delisle, Les Grandes Heures de la reine Anne de Bretagne et l’atelier de Jean Bourdichon, Paris, 1913, p. 73-76.
Curt Weigelt, "Der Meister des Gebetbuchs Heinrichs II. Miniaturen seiner Hand in Königlichen Kupferstichkabinett", Amtliche Berichte aus den Königlichen Kunstsammlungen, a. 35, t. 6, 1914, col. 192 et 196-198.
Marc Bloch, Les rois thaumaturges. Étude sur le caractère surnaturel attribué à la puissance royale particulièrement en France et en Angleterre, Strasbourg / Paris, 1924, p. 286, 316 et 453.
Louis Dimier, Histoire de la peinture de portrait en France au XVIe siècle, Paris, 1924, t. 2, p. 379.
Henry Martin, Les Joyaux de l'enluminure à la Bibliothèque nationale, Paris / Bruxelles, 1928, p. 116-117.
André Blum et Philippe Lauer, La miniature française aux XVe et XVIe siècles, Paris / Bruxelles, 1930, p. 102-1.
Louis Réau, Histoire de la peinture au Moyen Âge. La miniature, Melun, 1946, p. 222-223.
Janet Backhouse, "Two Books of hours of Francis I", British Museum Quaterly, t. 31, 1967, p. 90.
Ivan Cloulas, Henri II, Paris, 1985, pl. entre les p. 352 et 353.
Colette Beaune, Le miroir du pouvoir, Paris, 1990, p. 66-67 et 183.
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Marie-Pierre Laffitte, Reliures royales du département des Manuscrits (1515-1559), Paris, 2001, p. 120.
Guy-Michel Leproux, La peinture à Paris sous le règne de François Ier , Paris, 2001, p. 123 n. 33 et 155.
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Myra D. Orth, "L’enluminure au temps de Henri II", dans Hervé Oursel et Julia Fritsch (dir.), Henri II et les arts, actes du colloque de Paris, École du Louvre / Écouen, musée national de la Renaissance, 25-27 septembre 1997, Paris, 2003, p. 249-253.
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Patrick Demouy, "Le sacre du roi de France", dans Thierry Jordan (dir.), Reims, Strasbourg, 2010, p. 432-433.
Guy-Michel Leproux, "Les peintres et l’enluminure à Paris au XVIe siècle", dans Frédéric Elsig (dir.), Peindre en France à la Renaissance. I. Les courants stylistiques au temps de Louis XII et de François Ier , Milan, 2011, p. 62-65.
Cécile Scailliérez, "Jean Cousin Père, peintre et enlumineur", dans Cécile Scailliérez (dir.), Jean Cousin, père et fils. Une famille de peintres au XVIe siècle, Paris, 2013, p. 70.
Danièle Véron-Denise, "Jean Cousin et la broderie", dans Cécile Scailliérez (dir.), Jean Cousin, père et fils. Une famille de peintres au XVIe siècle, Paris, 2013, p. 100-101.
Cécile Scailliérez, "Un courant stylistique : l’art "l’art cousinesque"", dans Cécile Scailliérez (dir.), Jean Cousin, père et fils. Une famille de peintres au XVIe siècle, Paris, 2013, p. 263-264.
Guy-Michel Leproux, "Jean Cousin et le vitrail", dans Cécile Scailliérez (dir.), Jean Cousin, père et fils. Une famille de peintres au XVIe siècle, Paris, 2013, p. 110.

Expositions :
Henry Barbet de Jouy, Notice des antiquités, objets du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes composant le musée des souverains, Paris, 1866, p. 108-112.
Les primitifs français exposés au palais du Louvre (pavillon de Marsan) et à la Bibliothèque nationale, cat. exp., Paris, musée du Louvre et Bibliothèque nationale, Paris, 1904, manuscrits à peintures, n° 205.
Bibliothèque nationale. Exposition de portraits peints et dessinés du XIIIe au XVIIe siècle, cat. exp., Paris, BN, avril-juin 1907, Paris, 1907, n° 99.
Ronsard et son temps, cat. exp., Paris, BN, 9 janvier-9 février 1925, Paris, 1925, n° 270.
Sylvie Béguin (dir.), L’École de Fontainebleau, cat. exp., Paris, Grand Palais, 17 octobre 1972-15 janvier 1973, Paris, 1972, n° 277 (notice de D. Bozo).
Ronsard. La trompette et la lyre, cat. exp., Paris, Bibliothèque nationale, 12 juin-15 septembre 1985, Paris, 1985, n° 132 (notice d'A. Parent-Charon).
Le Sacre. A propos d’un millénaire, 987-1987, cat. exp., Paris, Archives nationales, mars-octobre 1987, Paris, 1987, n° 104.
Thierry Crépin-Leblond et Myra D. Orth, Livres d’heures royaux. La peinture de manuscrits à la cour de France au temps de Henri II, cat. exp., Écouen musée national de la Renaissance, 23 septembre-13 décembre 1993, Paris, 1993, n° 4.
Michèle Bimbenet-Privat (dir.), L’orfèvrerie parisienne de la Renaissance. Trésors dispersés, cat. exp., Paris, Centre culturel du Panthéon, 15 septembre-15 décembre 1995, Paris, 1995, n° 44 (notice de T. Crépin-Leblond).
Marie-Hélène Tesnière et Prosper Gifford (dir.), Creating French culture. Treasures from the Bibliothèque nationale de France, cat. exp., Washington, Library of Congress, New Haven / Londres / Washington / Paris, 1995, n° 80 (notice de M. Orth).

Informations sur le traitement

Notice rédigée par Maxence Hermant (août 2020)

Dépouillement bibliographique

Ce dépouillement bibliographique est réalisé de façon systématique à partir des publications acquises par le département des Manuscrits. Il est issu de chargements périodiques (dernier chargement : février 2021).

2016

Nicolas HATOT, Marie JACOB (dir.), Trèsors enluminés de Normandie : une (re)découverte, Rennes : Presses universitaires de Rennes, cité p. 138. — C-3684.