Département des Manuscrits > Latin > Latin > Latin 3858-8822 [Ancien fonds latin] > Latin 6622-6895

Latin 6810

Cote : Latin 6810  Réserver
Ancienne cote : Rigault 722
Ancienne cote : Dupuy 789
Ancienne cote : Regius 4918
Caius Iulius Solinus, Collectanea rerum memorabilium ; Pseudo Aurelius Victor, Libellus de uita et moribus imperatorum breuiatus ; Miscellanea minorum operum.
Xe siècle (dernier quart)
France (Saint-Mesmin de Micy)

Minuscule caroline sur deux colonnes. Au moins deux mains : changement entre les f. 24 et 25 ; peut-être également deux autres mains, une au f. 1, une autre au f. 48.

Les textes du manuscrit s’ouvrent sur des initiales rubriquées (f. 1r) et évidées (f. 38r), ou simplement à l’encre brune (f. 48r), dans un cas évidée (f. 48r). Les chapitres du traité de Solinus aux f. 1r-37v sont annoncés par des initiales le plus généralement rubriquées (passim), parfois également évidées (f. 11v, 15r, 16r-16v, 17v, 18v, 22v, 23r, 25r, 33r), et dans de rares cas à l’encre brune fourrées ou rehaussées de rouge (f. 2r, 13r, 14v). Les initiales de début de chapitre des vies des empereurs (f. 37v-48r) sont à l’encre brune fourrées de rouge (passim), parfois également évidées (f. 43r et 44r). Les vers sont marqués par des initiales fourrées de rouge au f. 37v, simples au f. 48r (idem pour les signes et définitions du f. 48v).
Les titres des textes sont en onciales rubriquées aux f. 1r et 37v, et en onciales à l’encre brune au f. 48r. Les titres des chapitres du traité de Solinus aux f. 1r-37v sont rubriqués, en onciales ou minuscules carolines (passim), idem pour l’explicit du f. 37v, tandis qu’il n’y a pas de titre de chapitre indiqué pour le traité sur les empereurs aux f. 37v-48r : le changement de chapitre est parfois noté par une ligne ondulée rubriquée (f. 38v-39r, 44v, 45v, 46r), ou par la première ligne ou le premier mot en onciales fourrées de rouge (f. 39r, 40v, 43v-44v, 47r). L’explicit du f. 48r n’est pas rubriqué.

Le f. 1r comporte un certain nombre d’annotations relatives à l’histoire du manuscrit : DCCXXXII, la cote du catalogue de N. Rigault (qui date de 1622), barrée par la main qui a noté la cote suivante ; 789, la cote du catalogue des frères Dupuy (de 1645) ; 4918, la cote du catalogue de de N. Clément (de 1682) ; et enfin 6810, la cote actuelle ; un ex-libris de Saint-Laumer de Blois, daté des XIIIe-XIVe siècles par V. von Büren (1996, p. 65), « iste liber est ecclesiae sancti launomari » ; et enfin une ligne grattée, peut-être un ancien ex-libris.
On distingue plusieurs strates d’annotations sur l’ensemble du manuscrit.
Tout d’abord, une ou plusieurs mains contemporaines de celles des copistes annotent l’ensemble du manuscrit, en marge et dans l’interligne : les annotations sont plus nombreuses aux f. 1r-37v (reprises de mots en marge, variantes, omissions, etc.), qu’aux f. 38r-48v (essentiellement des reprises de noms propres). En outre, une main plus tardive ajoute aux f. 13v-37v des corrections aisément distinguables grâce à une encre très noire (avec quelques annotations plus développées aux f. 18r, 32r et 33r).
Deux mains modernes (sans doute XVIe siècle) annotent le texte à plusieurs reprises tout au long du manuscrit. La première, à l’encre plutôt claire (sauf aux f. 4v-5r et 41v-42r) et de très petit calibre, se retrouve aux f. 4v-6r, 9r-9v, 12v, 27v-28r, 41v-42r, où elle annote et souligne certains mots et passages du texte. La seconde passe par deux média : la mine de plomb, qui lui sert pour divers symboles marginaux (f. 4r-5r, 8r, 12r-12v, 28r, 36v, 43v), mais aussi pour annoter (f. 38r-47v), et l’encre (assez foncée), soit seule (f. 19r, 24r, 28r, 35v-36r), soit associée aux annotations à la mine de plomb pour les compléter ou les répéter (f. 38r-47v) ; dans le traité sur les vies des empereurs, elle vient essentiellement délimiter et titrer des parties et paragraphes au sein du texte. Enfin, Aymar de Ranconnet (XVIe siècle) a ajouté un titre au f. 1r et quelques annotations au f. 48v.
On peut également relever quelques essais de plume et annotations ponctuelles : f. 1r, 1v (peut-être une signature de cahier), 2r, 28v, 31r. 

Une seule unité codicologique.
Six cahiers, tous des quaternions : f. 2-9 ; f. 10-17 ; f. 18-24 (ce cahier a été amputé de son dernier feuillet, dont on voit encore le talon) ; f. 25-32 ; f. 33-40 ; f. 41-48. Tous s’ouvrent du côté chair et respectent la loi de Gregory (côté peau face au côté peau et côté chair face au côté chair). Le f. 1 est un feuillet isolé (s’ouvre côté chair).
A l’exception du f. 1, tous bénéficient d’une signature dans le coin inférieur extérieur du recto du premier feuillet du cahier : ils sont numérotés de B à G (le B, f. 2r, est peu reconnaissable), sans doute de la main d’Aymar de Ranconnet, puisqu’on retrouve des signatures similaires sur d’autres manuscrits lui ayant appartenu (cf. Paris, Bibliothèque nationale de France, Latins 7297 et 7730). Le f. 1 est ainsi soit le dernier feuillet d’un cahier A aujourd’hui perdu, soit a été considéré par l’auteur des signatures comme un premier cahier à part entière (et l’essai de plume peu reconnaissable au verso serait alors peut-être un A) ; la seconde hypothèse paraît plus probable, puisque ce premier feuillet marque le début du traité qui occupe la première partie du manuscrit (et contient uniquement la seconde préface, qui a donc pu être ajoutée a posteriori, pour compléter le tout), et que sa copie (Autun, Bibliothèque municipale, S. 42 (39)) commence de la même façon.
Foliotation moderne en chiffres arabes dans la marge supérieure externe du recto.

Parchemin.
48 feuillets, numérotés de 1 à 48, précédés et suivis d’une feuille de garde en parchemin.
310 x 250/260 mm (justif. col. 250/260 x 80/100 mm). 
Réglure tracée à la pointe sèche, sur 1 bifeuillet à la fois. Les piqûres ne sont visibles sur aucun feuillet. Rand « new style ». 35 lignes. Muzerelle : 2-2-11 / 0 / 1-1 / JJ.
Reliure de maroquin rouge (devenu brun) à quatre nerfs du XVIe siècle, sur ais de bois avec traces de boulons ; les plats sont ornés des armes et du chiffre de Charles IX, ainsi que du titre « I Solinus Polihistor », le dos du chiffre royal, et la tranche a été dorée. 320 x 260 mm.
Au f. 1r et 48v, estampille de la « Bibliothecae Regiae », identique au modèle Josserand-Bruno n° 1 (XVIIe siècle).
Ce document est rédigé en latin.
Bibliothèque nationale de France. Département des Manuscrits

Historique de la conservation

Le manuscrit est unanimement daté du Xe siècle (cf. T. Mommsen, 1895, p. XLIII ; E. Wickersheimer, 1966, p. 66 ; B. Munk Olsen, 1982, p. 510, etc.). La mention d’Otton III dans l’épitaphe de Boèce (f. 48r) nous donne en outre un terminus post quem (cf. V. von Büren, 1996, p. 70) : il date donc du dernier quart du siècle. Il a été copié, pour ce qui est du moins du texte de Solinus dans sa première partie, à partir du manuscrit de Leiden Voss. Lat. Q 87, originaire de l’abbaye Saint-Mesmin de Micy et qui s’y trouvait encore lors de la copie du latin 6810 (cf. V. von Büren, 1996, p. 70) : notre manuscrit a ainsi dû être rédigé dans cette même abbaye. Il est possible que cette copie ait été effectuée à l’initiative de l’abbé de Saint-Mesmin de l’époque, Constantin, et de Gerbert d’Aurillac, comme cela a été avancé par V. von Büren (1996, p. 70-71).

Très peu de temps après sa copie, toujours au Xe siècle, il est transporté jusqu’à Cluny, où il est utilisé comme modèle pour un manuscrit aujourd’hui conservé à la bibliothèque municipale d’Autun (S 42) mais copié à Cluny à la fin du Xe siècle. Le 6810 était peut-être encore à Cluny au XIIe siècle, puisqu’on trouve mention d’un manuscrit au contenu similaire dans un catalogue de Cluny rédigé au XIIe siècle (cf. L. Delisle, 1874, p. 460, n°29) ; ce n’est en tout cas a priori pas sa copie qui est évoquée dans ce catalogue, puisque le manuscrit S 42 aurait rejoint Autun sous l’épiscopat de Walterius, soit fin Xe siècle début XIe (pour les informations sur le manuscrit d’Autun, cf. C. Maître et A. Minvielle, 2004, p. 141-142).

On le retrouve ensuite à Saint-Laumer de Blois aux XIIIe-XIVe siècles, d’après l’ex-libris inscrit au f. 1r (cf. V. von Büren, 1996, p. 65).

Au XVIe siècle il appartient à Aymar de Ranconnet, dont on reconnaît la main dans les annotations des f. 1r et 48v, avant de passer dans la bibliothèque royale après la mort de ce dernier en 1559 et la saisie de ses biens en 1560 (cf. M.-P. Laffitte et F. Le Bars, 1999, p. 24 ; M.-P. Laffitte, 2009, p. 149). De son entrée à la bibliothèque royale date sa reliure aux armes de Charles IX.

Présentation du contenu

F. 1r-37v : Caius Iulius Solinus, [Collectanea rerum memorabilium], inc. « C. Iuli Solini siue grammatici Polyhistor ab ipso editus et recognitus. Solinus aduento. Quoniam quidam inpatientius potius quam studiosius opusculum quod moliebar intercipere properarunt… », expl. « …ideo que non penitus ad nuncupationem sui \suam/ congruere insularum qualitatem. Explicit Fl. C. Iuli Solini siue grammatici. Iulius Solinus. Explicit feliciter studio et diligentia d. n. Theodosii inuictissimi principis feliciter liber perscriptus. C. Iulii Solini siue grammatici Polyistor ab ipso editus et recognitus. » (éd. T. MOMMSEN, C. Julii Solini Collectanea rerum memorabilium, Berlin : Weidmann, 1895, p. 1-221) [s’ouvre sur la Praefatio II (f. 1r), puis les Capitula (f. 1r-1v), et enfin la Praefatio I (f. 1v), avant le texte lui-même].

F. 37v : [Pseudo Caius Iulius Solinus, Pontica], inc. « Tithya marmorea fecundam pandere ponto… », expl. « …Vos quoque qui resono colitis caua tempea cytu. » (éd. W. MOREL, K. BÜCHNER, J. BLÄNSDORF, Fragmenta poetarum latinorum epicorum et lyricorum : praeter Ennium et Lucilium, Stuttgart ; Leipzig : Teubner, 1995, p. 445-447) [poème inachevé sur le Pont-Euxin souvent associé aux Collectanea dans les manuscrits ; son auteur et sa date de rédaction sont débattus : cf. P. Burmann, 1773, p. 383-386 ; E. Baehrens, 1881, p. 172-173 ; K. Smolak, 1989, p. 327-328 ; W. Morel, K. Büchner, J. Blänsdorf, 1995, p. 445-447].

F. 37v-48r : [Pseudo Aurelius Victor], Libellus de uita et moribus imperatorum breuiatus, inc. « Libellus de uita et moribus imperatorum breuiatus ex libri Sexti Aurelii Victoris a Caesare Augusto usque ad Theodosium. Anno urbis conditae septingentesimo vicesimo secundo ab exactis vero regibus quadringentesimo octogesimoque… », expl. « …Corpus eius eodem anno Constantinopolim translatum atque sepultum est. Finit. Amen. » (éd. F. PICHLMAYR, Sexti Aurelii Victoris Liber de Caesaribus (revue par R. GRÜNDEL), Leipzig : Teubner, 1966, 133-176).

F. 48r : [Gerbertus Aureliacensis], Epitaphium Boethii, inc. « Epitaphium Boetii uiri utriusque linguae peritissimi. Roma potens dum iura suo declarat in orbe… », expl. « …Et bene promeritis meritis exornat honestis. » (éd. K. STRECKER, Monumenta Germaniae Historia, Poetarum Latinorum Medii Aeui 5, Die Ottonenzeit 1, Leipzig : Karl W. Hiersemann, 1937, p. 474-475) [épitaphe généralement attribuée à Gerbert d’Aurillac, mais son contexte de rédaction reste débattu : cf. P. Bourgain, 1996, 296-299 ; M.-H. Jullien, 2010, p. 120-122].

F. 48r : [Anonyme], Epitaphium Helpis Boethii coniugis, inc. « Epitaphyum Helpis eiusdem praeclari uiri coniugis. Helpis dicta fui Siculae regionis alumna… », expl. « …Et sotius uitae nectat uterque cinis. » (éd. P. BURMANN et H. MEYER, Anthologia ueterum Latinorum epigrammatum et poematum I, Leipzig : G. Fleischer, 1835, p. 256-257, n°824) [cf. M. de Rossi (1888, p. 79 et 426-428) : cette épitaphe nous est parvenue par deux canaux : dans des collections épigraphiques (les plus anciennes du VIIe siècle) qui l’identifient comme une inscription du portique de la basilique Vaticane ; dans des manuscrits où elle est associée à l’œuvre de Boèce et où Helpis est présentée comme la femme de ce dernier, information qui reste incertaine].

F. 48r : [Anonyme, De membris humanis], inc. « De somatum onomatibus. Caput uertex cerebrum cerebrellum sanguis uenae ossa… », expl. « …VIIa hesperica est qua nisi quis imitare noluerit euertiginato capite ruor in terram. » (éd. K.-D. FISCHER, « Eine wenig beachtete Liste mit den Bezeichnungen der Körper Teile », Rheinisches Museum für Philologie 139, 3, 1996, p. 345-346) [liste transmise également par le manuscrit Vendôme, Bibliothèque Municipale, ms. 127].

F. 48r : [Anonyme, Voces animantium], inc. « Auium proprietas uocum. Aquilas glangere. Accipitres pipluare. Uultures palpare. Coruos crassare… », expl. « …Mustelas drinarare. Mures mantare. Sorices desticare. Ranas rabire uel coaxare. Finit. » (éd. A. GRONDEUX et F. CINATO, Liber Glossarum digital, Paris, 2016, http://liber-glossarum.huma-num.fr, VO167) [liste de cris d’animaux en deux parties (oiseaux, puis animaux terrestres), qui appartient à la classe I des catalogues de cris d’animaux telle qu’elle est définie par M. MARCOVICH, 1971, p. 399-416 ; pour l’édition, on peut se reporter à celle du Liber Glossarum qui comporte un catalogue similaire].

F. 48v : [Isidorus Hispalensis, Etymologiae], inc. « Astericus apponitur in his locis quae ommissa sunt ut illucescant per eam notam quae deesse uidentur… », expl. « …Vel chronos dicitur grece tempus ut legimus in chronica Hieronimi I. in libro de temporibus. » (éd. W.M. LINDSAY, Isidori Hispalensis episcopi Etymologiarum sive Originum libri XX, Oxford : Clarendon, 1911, lib. 1, cap. 21, par. 2, 4, 8-10, 22-25, 27, 5) [extraits du chapitre De notis sententiarum ; les cinq dernières lignes, « Chronus dicitur breuis grece et haec figura quia breuem habet iam terminum et ultra finem libri protendi non potest… Vel chronos dicitur grece tempus ut legimus in chronica Hieronimi I. in libro de temporibus. », sont un ajout qui ne se retrouvent pas dans le texte d’Isidore ; sur la composition précise de ce texte, cf. E. Steinova, 2018, p. 78 et 209].

F. 48v : [Anonyme, Differentia], « Anima uiuificat. Animus cupit. Mens meditatur. Spiritus sperat. Ratio iudicat. » (non édité) [courte note en marge indiquant les distinctions entre les différents mots latins pour signifier « esprit »].

Bibliographie raisonnée

Catalogues et inventaires

Catalogus Codicum Manuscriptorum Bibliothecae Regiae 4, Paris : e typographia regia, 1744, p. 280.
[ NUMM-209144

Léopold DELISLE, Le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale II, Paris : Imprimerie nationale, 1874, p. 406 et 460 (n°29).
Mss. [ 011.31 f BnF 4, 2

Notices et histoire du manuscrit

Ernest QUENTIN-BAUCHART, La bibliothèque de Fontainebleau et les livres des derniers Valois à la Bibliothèque nationale (1515-1589), Paris : E. Paul, L. Huard et Gillemin, 1891, p. 34 et 159, n°91.
Mss. [ 8-IMPR-782

Birger MUNK OLSEN, L'étude des auteurs classiques latins aux XIe et XIIe siècles 2, Catalogue des manuscrits classiques latins copiés du IXe au XIIe siècle : Livius-Vitruvius ; Florilèges, essais de plume, Paris : CNRS éd., 1985, cité p. 510.
Mss. [ 809.02 OLSE 2 

Veronika von BÜREN, « Une édition critique de Solinus au IXe siècle », Scriptorium 50, 1, 1996, p. 22-87, cité p. 24, notice p. 64-71.
Mss. [ P-91

Marie-Pierre LAFFITTE et Fabienne LE BARS, Reliures royales de la Renaissance : la Librairie de Fontainebleau, 1544-1570, Paris : Bibliothèque nationale de France, cité p. 24.
Mss. [ 095 LAFF 1

Birger MUNK OLSEN, « Chronique des manuscrits classiques latins (IXe-XIIe siècles), IV », Revue d'histoire des textes 30, 2000, p. 123-188, cité p. 174 (C.73).
Mss. [ 8-PIECE-6763

Olivier MÜNSCH, Der Liber legum des Lupus von Ferrières (Freiburger Beiträge zur Mittelalterlichen Geschichte 14), Frankfurt am Main : Peter Lang, 2001, cité p. 277.
Mss. [ 16-IMPR-2300

Claire MAÎTRE et Annik MINVIELLE, « S 42 (39) Solinus, Collectanea rerum memorabilium », in Catalogue des manuscrits d’Autun (éd. C. MAÎTRE), Turnhout : Brepols, 2004, p. 141-142.
Mss. [ 011.31 f AUTU 2

Marie-Pierre LAFFITTE, « La redécouverte des manuscrits carolingiens par les érudits et les collectionneurs français (XVIe-XVIIIe siècles) », in Les manuscrits carolingiens : actes du colloque de Paris, Bibliothèque nationale de France, le 4 mai 2007 (éd. J.-P. CAILLET et M.-P. LAFFITTE ; Bibliogia 27), Turnhout : Brepols, 2009, cité p. 149 (note 53).
Mss. [ 4-IMPR-3154

Sur les Collectanea rerum memorabilium de Solinus, f. 1r-37v

Theodor MOMMSEN, C. Julii Solini Collectanea rerum memorabilium, Berlin : Weidmann, 1895, cité p. XLIII-XLIV et 233-235.
Tolbiac [ 8-G-7233

Richard H. ROUSE, « Solinus », in Texts and transmission : a survey of the Latin classics (éd. L.D. REYNOLDS), Oxford : Clarendon Press, 1983, cité p. 393.
Mss. [ 8-IMPR-5114

Sur les Pontica, f. 37v

Pieter BURMANN, Anthologia ueterum Latinorum epigrammatum et poematum II, Amsterdam : Schouten, 1773, p. 383-386.

Emil BAEHRENS, Poetae Latini minores III, Leipzig : Teubner, 1881, cité p. 172-173.
Tolbiac [ 8-Z-27 (211,3)

Theodor MOMMSEN, C. Julii Solini Collectanea rerum memorabilium, Berlin : Weidmann, 1895, cité p. 233-235.
Tolbiac [ 8-G-7233

Franz BÜCHELER, « Zum Gedicht des Pseudosolinus », Rheinisches Museum für Philologie 51, 1896, p. 325-326.
Tolbiac [ Z-37049

Heathcote William GARROD, « Notes on the Poetae Latini Minores », Journal of Philology 32, 1913, p. 72-78, cité p. 73-74.
Tolbiac [ 8-Z-344

Kurt SMOLAK, « Pontica », in Handbuch der Lateinischen Literatur der Antike 5, Restauration und Erneuerung : die lateinische Literatur von 284 bis 374 n. Chr. (éd. R. HERZOG), München : C.H. Beck, 1989, p. 327-328, §558.
Tolbiac [ 870.9 HERZ h5

Willy MOREL, Karl BÜCHNER, Jürgen BLÄNSDORF, Fragmenta poetarum latinorum epicorum et lyricorum : praeter Ennium et Lucilium (Bibliotheca scriptorum Graecorum et Romanorum Teubneriana 1371), Stuttgart ; Leipzig : Teubner, 1995, p. 445-7.
Tolbiac [ 87/1 A fT

Sur l’épitaphe de Boèce, f. 48r

Rudolf PEIPER, Anicii Manlii Severini Boetii philosophiae consolationis libri quinque, Leipzig : Teubner, 1871, p. XL-XLI.
Tolbiac [ 8-Z-27 (40,3)

Nicolaus BUBNOV, Gerberti, postea Silvestri II papae, Opera mathematica (972-1003), Berlin : R. Friedländer, 1899, p. 150-151.
Tolbiac [ 8-V-28501

Max MANITIUS, Geschichte der lateinischen Literatur des Mittelalters 2, Von der Mitte des zehnten Jahrhunderts bis zum Ausbruch des Kampfes zwischen Kirche und Staat, München : C. H. Beck, 1923, cité p. 737.
Mss. [ 8-IMPR-6750 (2)

Karl STRECKER, Monumenta Germaniae Historia, Poetarum Latinorum Medii Aeui 5, Die Ottonenzeit 1, Leipzig : Karl W. Hiersemann, 1937, p. 474-475.
Mss. [ 940.1 MGH a 1, 5

Pascale BOURGAIN, « La création poétique: l'hommage de Gerbert à Boèce », in Autour de Gerbert d'Aurillac : le pape de l'an mil, Paris : École des chartes, 1996, p. 296-299.
Mss. [ 4-IMPR-2123

Marie-Hélène JULLIEN, Clavis scriptorum latinorum Medii Aevii. Auctores Galliae 735-987 III, Faof – Hilduin (Corpus Christianorum Continuatio Medievalis), Turnhout : Brepols, 2010, cité p. 120-122.
Mss. [ 230.005 CLAV m 3, 1

Sur l’épitaphe d’Helpis, f. 48r

Giovanni Battista DE ROSSI, Inscriptiones Christianae urbis Romae septimo saeculo antiquiores 2, 1, Rome : ex officina libraria Philippi Cuggiani, 1888, cité p. 79, 130, 268, 290, 426-428.
Tolbiac [ H-2216 (1)

Sur la liste des parties du corps, f. 48r

Klaus-Dietrich FISCHER, « Eine wenig beachtete Liste mit den Bezeichnungen der Körperteile », Rheinisches Museum für Philologie 139, 3-4, 1996, p. 343-350, cité p. 345-346.
Mss. [ 8-PIECE-6068

Sur les uoces animantium du f. 48r

Georg GOETZ, Corpus glossariorum Latinorum I, De glossariorum Latinorum origine et fatis, Leipzig : Teubner, 1923, cité p. 92.
Tolbiac [ 8-X-313 (1)

Miroslav MARCOVICH, « Voces animantium and Suetonius », Ziva Antika 21, 1971, p. 399-416.

Sur les notae du f. 48v

Evina STEINOVÁ, Notam superponere studui : The Use of Annotation Symbols in the Early Middle Ages, Turnhout : Brepols, 2018, cité p. 78, 143, 209.
Mss. [ 4-IMPR-3885

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Notice rédigée par Clémence Pelletier (13 février 2023).